En 1770 le navigateur britannique James Cook débarqua pour la 1ère fois sur la côte est, qu'il appela Nouvelles Galles du Sud et qu'il décréta officiellement possession britannique. C'est également James Cook qui découvrit le premier le site de l'actuelle Sydney qu'il nomma Port Jackson. Une première colonie britannique (colonie pénitentiaire destinée aux bagnards emmenés de Grande-Bretagne.) y fut crée en 1788. Et on donna à l'endroit son nom actuel (en l'honneur du ministre britannique Thomas Townshend, premier vicomte de Sydney).
En 1829, le Royaume-Uni revendiqua formellement la partie occidentale de l'Australie et de nouvelles colonies (libres cette fois !) furent fondées.
Au début des années 1850 la découverte de gisements d'or
dans l'État du Victoria créa une véritable ruée
vers l'or qui favorisa la croissance spectaculaire de la ville de Sydney. De
plus vers la fin de 1860, le transport des condamnés cessa, et la colonisation
fut achevée par l'immigration. Et en 1920, on comptait déjà
plus d'un million d'habitants.
Pendant la guerre du Pacifique, la ville servit de base pour les forces aériennes
et navales alliées.
Sydney a accueilli les Jeux Olympiques d'été de 2000.
Environ 750 000 avant la colonisation, les Aborigènes ont ensuite été décimés par les massacres et les épidémies et les empoisonnements. Ils ont été ensuite confinés dans des réserves sur les terres les plus pauvres. De nos jours, ils seraient un peu plus de 450 000, représentant 2,3 % de la population australienne. Leur espérance de vie est de 17 ans plus faible que celle des autres Australiens. Le pays aborigène représente 10 % du territoire australien en 2007.
Depuis la restitution des terres de 1976, de nombreux Aborigènes sont retournés vivre sur les lieux de vie de leurs ancêtres – homeland – desquels ils avaient été chassés.